Mes démarches en ligne

Projet de création/reprise

Quelle que soit l’étape où vous vous trouvez dans votre projet, nous serons à vos côtés pour vous accompagner.

Les 10 étapes clés d’une création d’entreprise

Suivez les 10 étapes clés ci-dessous pour bien étudier votre projet et le construire pas à pas pour lui donner le plus de chance de réussite.

Il s’agit d’émettre des hypothèses de départ quant à votre idée :

  • Je vends/propose quoi ?
  • A qui ?
  • Où ?
  • Comment ?
  • Pourquoi ?
  • Quand ?

Il faut poser ce qui est important pour vous, et confronter cela à l’activité que vous projetez d’exercer.

Les bonnes questions à se poser :

  • Qu’est-ce qui me motive ?
  • Quelles sont mes qualités pour exercer cette activité ?
  • Quelles sont mes compétences et qualifications professionnelles pour exercer cette activité ?
  • Ma situation personnelle, professionnelle et financière me permet-elle d’exercer cette activité ? (Compatibilité avec la vie de famille, santé, autonomie, responsabilités, créativité, évolution sociale, apport personnel …)

Il convient le plus possible de se mettre en situation en allant par exemple à la rencontre de confrères expérimentés.

L’étude de marché est une étape indispensable de votre parcours de création car elle valide l’existence d’un marché pour votre projet, et donc sa faisabilité économique.

Le but de l’étude de marché est d’éclairer vos prises de décisions concernant les aspects du positionnement de l’activité : image, offre, prix, distribution, communication …

Elle se décompose en 4 phases :

  • Analyser le marché
  • Définir son positionnement
  • Evaluer son volume d’affaires prévisionnel
  • Définir un plan d’actions commerciales et un plan de communication

Analyser le marché

Le macro-environnement

Ce sont les facteurs externes qui exercent une influence sur la future entreprise, sans que celle-ci puisse agir dessus. Il s’agit d’avoir une vision large et prendre de la hauteur par rapport au marché dans lequel on va s’installer.

Une fois le marché bien identifié, vous pouvez dresser la liste des informations à rechercher sur ce marché : méthode PESTEL (Politique, Économique, Socioculturel, Technologique, Environnemental, Légal).

L’implantation

Le choix de l’implantation se fera selon certains critères à étudier : accessibilité, faciliter de stationnement, nombre d’habitants, flux de circulation, pouvoir d’achat dans la zone, concurrence, proximité de certains pôles d’attraction (école, cinéma, zone commerciale…), projets d’aménagements en cours ou programmés, surface du local, coût, fiscalité, autres critères spécifiques…

Ces éléments permettront par la suite de définir votre zone de chalandise, qui est l’aire géographique d’influence de votre entreprise et d’où proviendra l’essentiel de votre clientèle.

La concurrence

Il faut lister la concurrence directe et indirecte de votre future entreprise.

Ensuite une analyse comparative des concurrents est à réaliser : offre de produits/services, prix, implantation, communication, distribution… L’objectif est d’identifier les forces et les faiblesses des concurrents, et en déduire les avantages concurrentiels de votre projet.

La clientèle potentielle

Il faut savoir quels types de clients et quels sont leurs besoins afin de construire petit à petit une offre qui permettra de les satisfaire.

Il convient d’étudier les comportements et habitudes d’achat des chalands de la zone, et confronter leurs réactions à votre projet en construction, afin de continuer à adapter votre future offre jusqu’à la valider.

Vous pourrez dans le même temps segmenter votre clientèle : cœur de cible, clientèle cible, clientèle potentielle.

Définir son positionnement

Le positionnement de l’entreprise permet à l’entreprise de définir une offre crédible, attractive et différente de ce qui existe déjà sur le marché.

Pour y parvenir, on peut s’appuyer sur 4 moyens d’actions : c’est le mix-marketing, appelée aussi la règle des 4 P en anglais (en français : produit, le prix, la distribution, la communication).

  • Produit : il doit répondre à un besoin (attente ou désir) du consommateur.
  • Prix : il doit prendre en compte plusieurs éléments (coût de revient, prix, positionnement de l’entreprise, prix du marché…)
  • Distribution : le mode de distribution de son offre doit être le plus adapté à sa clientèle, pour faciliter et optimiser les ventes.
  • Communication : l’essentiel est de se faire connaître / faire connaître son offre (produit/service) auprès des futurs acheteurs, par la rédaction d’un plan de communication.

Ce qui est essentiel, c’est de garder en tête que l’intégralité de la démarche est centrée sur le besoin client.

Évaluation de son volume d’affaires prévisionnel

Il existe 3 méthodes complémentaires d’évaluation du Chiffre d’Affaires (CA) :

  • Evaluation à partir du CA moyen des entreprises du secteur (à partir de leurs historiques des ventes)
  • Evaluation à partir de l’estimation du volume des ventes
  • Evaluation à partir des coûts de structure (c’est-à-dire le minimum nécessaire pour couvrir ses charges)

Le CA prévisionnel doit être le point de départ du montage de votre budget prévisionnel, à partir duquel doivent découler l’ensemble des autres éléments (investissements, stock, approvisionnements …), et non l’inverse !

Il faut également impérativement valider le réalisme du CA prévisionnel par :

  • La comparaison avec les CA concurrents
  • Le rapport au marché potentiel
  • La faisabilité d’atteinte des objectifs de vente via l’action commerciale ou de communication
  • Les capacités de production (dont le temps)
  • Les besoins en personnel
  • Les coûts de la structure

Il est conseillé d’évaluer le CA annuel, et ensuite de déterminer une répartition mensuelle.

Les plans d’actions commerciales et de communication

Le plan d’action commerciales (PAC)

C’est la feuille de route de l’entreprise.

Le PAC met en évidence les différentes actions à mettre en place pour atteindre les objectifs commerciaux fixés :

  • Promotion :les actions pour vendre ou faire connaître un produit (jeux-concours, réduction de prix : promotion par rapport au produit ou à l’animation, faire connaître le produit)
  • Communication :média (presse, affichage, radio, cinéma, TV, internet), hors média (salon, événementiel, parrainage, marketing direct, etc.).
  • Vente : les étapes de la vente (de la prise de contact à la conclusion de la vente)

Le plan de communication

Votre plan de communication vous permet de :

  • Vous faire connaître (une marque, un produit, développer votre notoriété)
  • Vendre(déclencher l’acte d’achat, vous lancer sur un nouveau marché, convaincre)
  • Sensibiliser (changer votre image de marque (écologie, sociétale, sociale…), faire adhérer)
  • Informer (conquérir de nouveaux prospects, améliorer la fidélisation de vos clients, consolider le lien avec vos clients)

Une fois votre/vos objectif(s) déterminer, il faut déterminer votre cible clientèle et votre message.

Vos clients ne sont pas « tout le monde ». Même si votre fichier client présente une grande diversité, vous avez forcément un cœur de cible !

Il vous faudra identifier des segments clients, et pour chacun d’entre eux vous devrez déterminer les habitudes et profils : type de consommation, comportement, panier moyen, fréquence, appartenance à un groupe, etc.

Ainsi votre message sera ciblé. Il s’adressera aux bonnes personnes…avec un meilleur retour sur investissement.

Une fois vos cibles clients et vos messages définis, vous devrez choisir les bons outils pour communiquer :

  • Communication digitale (Réseaux sociaux, annonces sponsorisées, etc.)
  • Événementiel
  • Promotionnel
  • Publicité (digitale ou imprimée, radio, TV, etc.)
  • Street marketing

Enfin, organisez et planifiez les actions à mener dans un tableau chronologique, afin de coordonner toute la démarche opérationnelle.

Votre plan de communication est vivant et évolue en permanence. Mesurer la performance des actions de communication menées et adapter les : amélioration, reconduction, arrêt.

Les études financières du projet vont permettre d’établir des hypothèses pour appréhender la rentabilité et la viabilité du projet, et ainsi les chances de pérennité de la future entreprise.

Plusieurs tableaux financiers doivent être réalisés, dont se distinguent plus particulièrement : le plan de financement et le compte de résultat prévisionnel.

Le plan de financement de départ

Il répond à la question : quelle somme d’argent dois-je réunir pour réaliser mon projet ?

Le plan de financement recense l’ensemble des investissements indispensables pour démarrer et exercer l’activité, puis l’ensemble des ressources financières pour pouvoir financer ces besoins.

Il faut veiller à ne pas sous-estimer la trésorerie de départ, et nécessaire à la montée en charge de l’entreprise.

Tout au long de son existence, la solvabilité de l’entreprise sera souvent appréciée au regard du rapport fonds propres / emprunts.

Le compte de résultat

Le compte de résultat prévisionnel a pour but d’évaluer la rentabilité de l’entreprise, c’est-à-dire sa capacité à créer de la richesse pour rembourser ses emprunts, de capitaliser, puis pour réinvestir afin d’assurer le développement.

C’est le film de l’année : il reprend les ventes d’un côté (+), et les charges de l’autre (-).

A la fin, on obtient le résultat de l’entreprise : un bénéfice, ou un déficit.

Dans ce cadre, le résultat de l’entreprise est souvent retraité pour parvenir au calcul de 2 indicateurs :

  • l’EBE : Excédent Brut d’Exploitation = Résultat d’exploitation + dotations aux amortissements

Il est par exemple souvent isolé pour évaluer le rachat d’une entreprise ou de son fonds de commerce.

  • la CAF : Capacité d’Autofinancement = Résultat + dotations aux amortissements

Elle doit au minima est suffisante pour rembourser le capital de l’emprunt et assurer l’accroissement du besoin en trésorerie.

Une fois que vous avez évalué votre besoin de financements, il va falloir trouver les ressources qui viendront financer votre projet. Aussi, il existe des aides qui peuvent venir compléter vos financements. Face à toutes ces aides, la difficulté pour vous est d’identifier celles qui peuvent vous concerner et d’éviter de perdre du temps inutilement. N’hésitez pas non plus à cette étape à vous faire conseiller par notre équipe du service Économie.

Plusieurs éléments sont à prendre en compte :

  • La nature des ressources qui vont venir financer votre projet : emprunt bancaire, prêt d’honneur, avance remboursable, subvention, prise de participation …
  • Les garanties possibles
  • Les aides publiques varient selon votre profil, votre situation, votre projet et la commune d’implantation

Le statut juridique

Il faut d’abord vérifier quelques informations sur la possibilité de créer une entreprise (capacité juridique, règlementation de l’activité, cumul ou limite d’accès …).

Au niveau juridique, il existe 2 grandes catégories d’entreprise :

  • L’entreprise individuelle (micro-entreprise, entreprise individuelle classique …)
  • La personne morale (SARL, SAS, EURL, SASU, SA …)

Le choix est étroitement lié au projet et la situation personnelle de chacun. Plusieurs critères doivent être pris en compte : l’endettement, les risques juridiques et financiers, le potentiel de développement, l’ouverture du capital, la transmission et la succession, la fiscalisation des bénéfices, etc.

L’entreprise individuelle entend que le dirigeant et son entreprise ne font qu’une seule et même personne d’un point de vue juridique. Cependant depuis 2022, l’entrepreneur individuel bénéficie de la séparation de son patrimoine personnel et du patrimoine professionnel sans déclaration d’affectation ni état descriptif.

En société, : le dirigeant et son entreprise sont deux personnes juridiques bien distinctes. La création d’une société consiste à donner naissance à une nouvelle personne, juridiquement distincte de ses associés. Il est donc nécessaire de:

> lui donner un nom : une « dénomination sociale »

> la domicilier dans un lieu : le « siège social »

> lui apporter un minimum d’argent et/ou de

biens : le « capital social »

> désigner les personnes chargées de la gérer

et de la représenter : ses « dirigeants »

> consigner dans un contrat toutes les règles qui

la régissent : ses « statuts »

Le volet fiscal

Mode l’imposition

Il existe 2 modes d’imposition :

  • IRPP (imposition sur les revenus des personnes physiques)
  • IS (imposition sur les sociétés)

Certaines formes juridiques sont de plein droit à l’IR (EI, EURL, SNC), ou à l’IS (les sociétés). Sur option, il est possible de changer de régime d’imposition des bénéfices.

Régime fiscal

La détermination de votre imposition dépend de votre niveau de chiffre d’affaires et de la nature de votre bénéfice.

  • À l’IR, les prélèvements du dirigeant (les rémunérations qu’il s’est versées) et le bénéfice de l’entreprise (BIC ou BNC) sont confondus.
  • À l’IS, il y a 3 niveaux :
    • le bénéfice de l’entreprise est imposé à l’IS
    • la rémunération du dirigeant au titre de son mandat social est imposée à l’IRPP
    • les dividendes sont imposés à l’IR

Le volet social

Il existe 2 régimes d’affiliation sociale pour les dirigeants :

  • Indépendants-TNS
  • Assimilés salariés

Selon la part de gérance dans l’entreprise, vous dépendrez de l’un ou l’autre des régimes d’affiliation.

  • Les règlements des cotisations se fait auprès de l’URSSAF.
  • Les prestations versées dépendent de leur nature :
    • les prestations santé (assurance maladie, maternité sont versées par la CPAM
    • les prestations familiales (allocations familiales) sont versées par la CAF
    • les prestations retraite sont versées par la CARSAT (ou CIPAV pour les professions libérales)

Les prestations en nature sont équivalentes à celles des salariés (médicaments, soins, hospitalisation…).

Les prestations en espèces (indemnités journalières) sont égales pour tous les indépendants, mais pas égales à celles des salariés. Les indépendants-TNS ne bénéficient pas de l’assurance accident du travail et maladie professionnelle, ainsi que de l’assurance chômage (sauf assurance volontaire possible dans certains cas).

Il convient de compléter sa complémentaire santé par une complémentaire prévoyance adaptée pour se prémunir contre les accidents de la vie.

Les formalités administratives d’immatriculation varient suivant le statut juridique (entreprise individuelle ou société) et le régime social de l’entreprise (commerçant, artisan, profession libérale, agriculteur…).

La création d’une société va impliquer par exemple :

  • La rédaction de statuts qui va venir encadrer le fonctionnement juridique de l’entreprise, les responsabilités des associés, du ou des gérants…
  • La nomination d’un gérant
  • Le dépôt d’un capital social
  • La publication d’une annonce légale

Des précautions doivent être prises quant au choix du nom commercial. Il faut veiller à ce qu’il ne soit pas protégé auprès de l’INPI.

L’immatriculation de l’entreprise se fait en ligne, via un guichet unique : www.formalités.entreprises.gouv.fr

Ce guichet unique vous permet de réaliser une seule formalité, qui est ensuite transmises à l’ensemble des organismes obligatoires :

  • L’Insee pour attribuer les numéros SIREN, SIRET, et le code APE de l’entreprise
  • Le Greffe du tribunal de commerce pour l’inscription au RCS (Registre du Commerce et des Sociétés)
  • La Chambre de Métiers et de l’Artisanat pour l’inscription au Répertoire des Métiers
  • Le SIE (centre des Impôts)
  • L’URSSAF
  • La DDETS (Inspection du travail)
  • Les caisses sociales (CPAM, CARSAT)

Dans le même temps, ou une fois les formalités administratives d’immatriculation réalisées, il convient de choisir vos différents partenaires, et contractualiser avec eux : comptable, banque, assurance, juriste, hébergement de l’entreprise, fournisseurs…

Si vous avez un local, c’est aussi le moment de préparer l’ouverture de votre établissement, et le lancement de votre activité (travaux, d’aménagement, enseigne, agencement …).

C’est le jour J !

Après avoir suivi toutes les étapes du parcours, être revenu en arrière en mode itération pour adapter votre projet, c’est le moment de démarrer l’activité.

Les différentes relations avec vos partenaires s’organisent, et votre stratégie commerciale se met en place, avec vos actions commerciales et votre plan de communication.

Le suivi de gestion

Le suivi de gestion est indispensable de pouvoir mesurer régulièrement la performance de l’entreprise à l’aide de tableaux de bord.

En outre, mieux vaut peu d’indicateurs lisibles et régulièrement suivis que pléthore d’indicateurs diffus et peu suivis.

Un artisan veillera à surveiller de très près sa valorisation horaire et son taux de retour devis tandis qu’un commerçant fera très attention à sa marge.

Il est par exemple important de pouvoir anticiper ses mouvements de trésorerie.

Être entouré et rester en veille

Une fois en activité, le chef d’entreprise est souvent « la tête dans le guidon », absorbé par son activité, et progressivement se retrouve seul face à son quotidien de dirigeant et à un certain nombre de problématiques.

Il est important d’entretenir des liens avec d’autres dirigeants afin de se retrouver entre pairs, partager et échanger du quotidien, etc. Il existe des réseaux d’entrepreneurs qui permettent localement d’être entouré d’autres dirigeants (associations de chefs d’entreprise, cluster…).

Aussi, vous pouvez prendre conseil auprès de structures d’accompagnement qui vous accompagneront dans les premiers mois de lancement de l’activité, et au-delà si besoin (CCI, Chambre de Métiers et de l’Artisanat, association de financement à laquelle vous avez fait appel …).

Une étude de marché est aussi un exercice perpétuel qui ne se limite pas à la création d’activité. Un chef d’entreprise doit constamment rester en veille pour anticiper les comportements d’achat, les évolutions technologiques. Il devra par exemple se dégager du temps pour visiter des salons professionnels, recevoir des fournisseurs…

Le parcours d’accompagnement de la Région

Parce qu’on ne naît pas entrepreneur mais on le devient, la Région des Pays de la Loire a créé un accompagnement complet et riche pour les futurs entrepreneurs : c’est le Parcours Entrepreneur.

Les autres parcours d’accompagnement

De la formalisation de votre projet à l’accompagnement lors des premières années de vie de votre entreprise, en passant par la recherche de financement et une formation à l’entrepreneuriat, vous aurez les clés pour mener à bien votre projet et le pérenniser.

Un dispositif en 4 étapes pour vivre une expérience de 29 jours d’immersion totale dans votre projet, rythmé par des temps individuels et de la formation collective.

Piloté par la Région, la réalisation des étapes du parcours est assurée par des acteurs experts de l’accompagnement et du financement de la création-reprise d’entreprise, afin de vous offrir un accompagnement lisible et accessible : la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, la Chambre de Commerce et d’Industrie, le réseau Initiative, France Active, l’Adie, et le CerFrance.

Pour plus d’information sur le Parcours Entrepreneur (contenu, modalités, coût et prise en charge…), rendez-vous sur le site de la Région Pays de la Loire.

Interlocuteur : Magalie Bouron

Tél. : 02 51 41 29 13

Courriel : vendee@reseau-entreprendre.org

Programme Start

Bénéficiaire

  • Créateur ou repreneur d’entreprise en Vendée

Condition

  • Créer au moins 5 emplois dans les 3 ans
  • Apport personnel de 15k €

Nature de l’aide

  • Accompagnement financier : prêt d’honneur de 15 à 50k €, remboursable sur 5 ans avec un différé d’1 an
  • Accompagnement individuel : 1 fois / mois pendant 2 ans avec un chef d’entreprise bénévole
  • Accompagnement collectif : en club avec tous les lauréats de la promo, 1 fois / mois pendant 2 ans

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